Auteurs: Sihem Hedjal1*, Derradji Zouini 1, Abdelwaheb Benamara 2 & Halima Dandane1
1Université Badji Mokhtar, Faculté des Sciences de la Terre, Département de Géologie, Laboratoire de Recherches Géologiques «LGR » BP 12, 23000, Annaba, Algérie.
2Université Badji Mokhtar, Laboratoire sol et hydraulique, BP 12, 23000, Annaba, Algérie.
Résumé
Situé au Nord-Est Algérien, le complexe des zones humides de Sanhadja occupe le littoral Est de la wilaya de Skikda. La démarche entreprise s’appuie sur des entretiens et enquêtes par questionnaires auprès des gestionnaires et des usagers des ressources en eaux dans le complexe de Sanhadja. Ces enquêtes montrent que ces dégradations sont dues principalement au chevauchement des prérogatives entre les acteurs de l’eau, manque de coordination, différents statuts, évolution des responsabilités [par exemple la réorganisation des services de l’Etat], peu de lisibilité et de clarté sur leurs rôles, divergences d’intérêts entre acteurs. De plus ce travail montre que l’approche participative (intégrée) ne sera fonctionnelle que si le cadre de gestion s’inscrit dans une démarche globale de gestion concertée dont nous portons notre appui, et que tous les acteurs [gestionnaires et usagers] ont leur mot à dire à travers le comité local de l’eau [CLE] dans ce processus décisionnel.
Mot clé :